Les volutes qui s'envolent vers le soir dessinent une spirale dansante, ou est-ce un mandala ? Ah oui, le mandala de mon désir, bien sûr, de relier la terre au ciel, de tenir ensemble le bas et le haut. C'est une prière, toujours, qui monte avec l'ambition de taquiner les nuages et se dissout en chemin. La fumée n'obscurcit pas l'immensité de l'espace, tout au plus la colore-t-elle d'impermanence.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire