Je manque de poésie comme le poisson échoué sur le sable manque d'oxygène. La déesse s'est enfuie avec ton sourire et moi, je coure derrière en pleurant dans la nuit. Le feu qui me consume n'a plus rien d'éclairant; il rougeoie comme un matin brisé en-deçà de l'horizon, aube morte-née qui se laisse tenter par l'abîme. Tu piétines l'amour au nom de ton ciel mais bientôt le ciel t'engloutira et l'amour survivra, phœnix de mes jours. Il refleurira sans toi.
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