Même les paupières closes, je
vois le soleil incarnat.
J'imagine alors un livre à
lire les yeux fermés. A
partir de notre nuit intime.
Avec quelques persistances
rétiniennes comme seuls
éclairages.
Et aussi avec cette question
récurrente: que peut-on retenir
de ce monde pour
traverser les jours restants ?
José Acquelin, Anarchie de la lumière (édition du Passage)
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