Ô
Splendeur, tu te tiens de l'autre côté de la lumière, qui te fait comme un
vêtement. Tu déposes parfois celui-ci sur un arbre ou dans un sourire, et je te
surprends dans ton absolue nudité. La force vive de ta beauté transperce alors
en un instant l'hymen de mon cœur qui s'en trouve ravi. Je vois bien que tu
attends patiemment que je sorte de la cage du temps pour me prendre par la main
et me reconduire à la pure spatialité de l'Être...
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