Magritte - les amants |
Je voudrais que mon cœur fût fendu avec un couteau, que l'on t'y insérât et qu'il fût refermé dans ma poitrine.
Ainsi tu t'y trouverais définitivement et tu ne t'installerais pas ailleurs jusqu'au jour de la résurrection générale.
Tu y vivrais tant que je vivrais moi-même et, à ma mort, tu résiderais en mon cœur, dans la nuit du tombeau.
Ibn Hazm
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