T'attendre
ailleurs
ici
tu n'es plus
là
Nulle part
nous irons
partager
ce rien
infini
ta vie.
Ta tendre
Cygne blanc
Sur l’aile du goéland je vois glisser le temps.
RépondreEffacerLes îles sont lointaines...et si proches pourtant du rivage présent où s’enroule ton pas, où s’enroule le mien.
Dis-moi... :
Qui marche encore sur le sentier marin, dans l’ombre de nos pas, dans leur bruit qui s’éteint... ?
Amezeg
Le rêve me dit:" Trace des chemins en toi "
EffacerJe médite là-dessus...
Merci Amezed pour ce très beau texte inspirant!
Cygne blanc
Dans le rêve d’autrefois fut un grand cygne blanc qui m’emporta sur le rivage de l’ailleurs découvrir avec lui l’horizon mystérieux de "ce rien infini" et l’aimer.
RépondreEffacerMerci cher Cygne blanc d’être ici, aujourd’hui.
Amezeg