Goutte qui se fait nuée,
Nuée qui se fait goutte,
Solve, coagula, solve, coagula...
Amour qui suit sa route...
Nulle trace sans doute sur la carte du monde
Hormis, peut-être, celle d’une ronde,
D’une note tenue l’instant d’une venue,
Passagère, menue,
Juste entre ciel et terre.
Amezeg
Éloquente illustration, Jean. :-)
RépondreEffacerElle m’a aussi fait songer à l’inscription latine gravée sur la stèle de la tombe familiale de C.G. Jung :
« Primus Homo de terra terrenus
Secundus homo de caelo caelestis
Vocatus atque non vocatus Deus aderit »
Le premier homme est de la terre, terrestre
Le second homme du ciel, céleste
Invoqué et non invoqué, le dieu sera présent
Amezeg :-)
Silencieuse et émue devant la beauté de ce texte!
RépondreEffacerMerci Amezed.
Cygne blanc
Ce poème me touche tout particulièrement...
RépondreEffacerAbsolument superbe !