Il n'est de chemin que solitaire. Je me perds dans la foule et c'est pour me retrouver, toujours, dans chaque visage. L'autre m'est une énigme jusqu'à ce que je reconnaisse que nous sommes habités par le même mystère, qui luit dans nos yeux. Alors, dans cette lumière où il n'y a ni toi, ni moi, j'embrasse la solitude enfin comme une bénédiction, le sceau de la voie de l'âme.
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