Ce matin, comme je me perdais un moment dans l'espace improbable entre deux trains, deux vies, soudain des notes de piano ont égrené le silence. Elles ont ruisselé sur mon âme en perles de lumière qui l'ont lavée et rendue à sa nudité première. Tout superflu étant irrémédiablement perdu pour quelques instants, j'ai retrouvé alors ton sourire qui attendait au fond de mon cœur que je le redécouvre, soleil éclairant du dedans le diamant de l'Être.
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