Tu es fille du feu et des grands espaces où le regard se perd, oiseau qui disparaît à l'horizon. Tu as ensemencé la terre rouge de mon cœur avec un rêve inextinguible de liberté qui torturait mes nuits. Tu as survécu au désastre de l'hiver, perdurant dans le noir en y brillant comme la seule étoile qui traverse la mort. Je t'aime, je t'ai toujours aimée, même quand je ne te connaissais pas. Et maintenant, je recueille en mon âme même la fleur incandescente de notre amour dans laquelle, en un souffle de vent fou, s'est ramassé tout le désert qui t'as vu naître et grandir.
Que c'est beau !...
RépondreEffacerMerci !
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