Le rideau retombe sur le petit théâtre intérieur. Arlequin git dans un coin de la scène, désarticulé, amour trépané avec un sourire narquois. L'Éternité rit tendrement en se penchant sur lui pour l'envelopper d'un long baiser brûlant. Il ressuscitera à la nuit tombée, se glissant furtif parmi les ombres, secrètement multicolore, lumineux en dedans.
Attendrissant!
RépondreEffacerArlequin ici évoque pour moi une lanterne comme celle du jardin chinois à l'automne.
Cygne Blanc