On sait que le sommeil des hommes est à nos anges visiteurs ce qu’un jardin est aux enfants. La raison et ses sentinelles ne gardent plus aucun portail. Ils peuvent donc entrer dans les esprits éteints avec leur lampe à rêves et jouer à leur gré.
Henri Gougaud
Très beau texte sauf qu'il en est de certains jardins comme de certains terrains vagues, les anges s'y attardent-ils tout autant? Ça reste à découvrir avec la langue perdue de l'onirisme éveillé.
RépondreEffacerAh j'oubliais… J'aime bien l'idée que les portails soient enfin désertés par les sentinelles de la rationalité, du tonal et de la faculté chez l'homme à tout recenser continuellement. Lug
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