J'embrasse fougueusement l'existence sur la bouche et je l'invite pour une danse : quoi que je fasse, tu resteras toujours une inconnue pour moi, n'est-ce pas ? Alors, donne-moi la main et marchons ! À la vie comme à la mort, il nous faut aller maintenant comme les guerriers de jadis allaient à la bataille : sans ciller, avec une conscience aiguë de la beauté de l'instant, et libres de tout espoir d'en revenir.
Hokahey ! C'est un beau jour pour mourir...
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