Pour parler de ma peine
Je pourrais pianoter
D’un do précis, d’un do permis
Parfaitement placé parmi la pleine portée
De mes précieux peut être.
Je pourrais par ailleurs, paniquer par peur
De plonger dans les pas de ma peine ;
De porter le poids de mes paroles
Par-delà les pourquoi et les ponts
Qui poussent la porte palatine
De mes parfaits partages ;
Parmi les plus hauts plateaux
De la paix pathétique
Du petit poids de ma peine.
Marion
Adorable!!
RépondreEffacerCygne blanc