L’eau tonne
Les pas mortels de dieux ensanglantés
Les trembles exultent les derniers vocables
Des langues ailées
Les fleurs ont vidé leurs outres
Après avoir donné le vin de toutes leurs infidélis
La terre est saoule jusqu’à lie
Les ruisseaux tranchent les artères du Temps
Le silence règne en despote dans son établi
La terre assume toutes les moiteurs.
Lug Lavallée
Il faut lire de toutes leurs infidélités
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