Ma naissance comme semence
Comme gland avant la mesure du quand
Et le déploiement de l’espace dans les gorges de la soif
Et plus tard ce lin de conscience
Avec son visage d’automne et de terre
D’abandon aux souffles des bourgeons
Paumes vierges livrées à l’œuvre humide
Pour que s’écrivent toutes les mémoires
Et les assonances des hautbois
Ne serait-il qu’une souche en devenir
Par laquelle passent les partitions de la forêt
Faisant valser les nuages ?
Lug
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